lundi 18 juillet 2011

Etape 7: Charleston (SC) - Orlando (FL)

ETAPE 7: CHARLESTON - ORLANDO
    Il fait chauuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuud en Floride, c'est le moins qu'on puisse dire ! Les autoroutes sont de véritables boulevards où la 2x4 voies est monnaie courante, les locaux roulent plus mal qu'au Nord et les palmiers sont absolument partout, bienvenue dans le Sunshine State !

    Le seul souci quand on est aux U.S.A, et qu'on n'a ni le temps ni les moyens de cuisiner, c'est de manger "raisonnablement". Bien sûr, au supermarché, on peut trouver facilement fruits, légumes, viandes, poissons, œufs, mais ça ne sert pas à grand chose quand le seul élément de cuisson à disposition se trouve être le capot de la voiture, aussi noir soit-il. Dans ces cas-là, on imite un grand nombre d'Américains, et on opte pour la junk-food, ou malbouffe en français. Mais attention, jamais plus d'une fois par jour !
    En réalité, il est assez difficile de trouver autre chose que des fast-food, alors on fait avec ce qu'on trouve, en évitant les méga formules ultra XXL pour 5$ ... on comprend vraiment pourquoi bon nombre d'entre eux sont enrobés ou obèses: ce type de restauration se trouve partout, est très visible (même depuis les autoroutes), et hyper accessible pour le porte-monnaie. Très souvent les fruits ou légumes sont plus chers que les items gras, et les boissons, servies dans des verres allant jusqu'à plus d'1L, sont à volonté ! 
    Quand on débarque à Orlando en ce 3 Juillet, on est plutôt contents de tomber sur un resto asiatique au bord de l'autoroute, enfin quelque chose de sain ! Je me dis qu'un petit poulet/riz devrait convenir, j'ouvre la boîte (oui, là bas on mange dans des boîtes en polystyrène, après tout l'environnement on s'en fout, c'est bon pour les européens ça), et me retrouve avec une quinzaine d’ersatz de morceaux de volaille enrobés d'une couche de pâte à beignet si épaisse que j'ai l'impression d'être en bord de mer prêt à déguster un cornet de churros. Tant pis, pour le côté diète, on repassera ...

    Lundi 4 Juillet, c'est parti pour 4 jours de DisneyWorld ! Qui veut bouffer du Mickey jusqu'à l'overdose en aura pour son argent, c'est certain. Et puisqu'on est aux États-Unis, et qu'on ne fait jamais les choses à moitié, ce ne sont pas un, ni deux, ni même trois parcs que l'on peut visiter, mais bien quatre ! Eh oui, quatre parcs pour autant de dollars dépensés.


    N° 1 sur la liste, Magic Kingdom, premier parc de la franchise Disney ouvert le 1er Octobre 1971. Il s'agit grossièrement du parc DisneyLand Paris, en plus petit et en moins intéressant. On quitte l'hôtel situé à quelques kms du parc pour pénétrer dans la gigantesque zone de DisneyWorld, qui s'étend sur environ 111 km². A noter que pour la création de ce projet, la société Disney a négocié directement avec l'Etat de la Floride pour la création d'une juridiction particulière propre à DisneyWorld, autorisant pour la première fois une entreprise à gérer l'équivalent d'une petite ville. Ici, tout appartient à la firme à la souris noire, des autoroutes à l'éclairage public, en passant par les espaces verts et la signalisation routière.

    Une fois rentrés dans le domaine, vient le moment de se transformer en vache à lait dans la bétaillère (la fameuse), embrassant pour de bon les vertus du tourisme de masse élevé au rang de religion ... . Comme tout bon parc d'attraction qui se respecte, il faut payer son stationnement pour garer titine toute la journée, et ce même si l'entrée au parc nous coûte déjà la peau des fesses. Ensuite, parce qu'on est bien jouflus et surtout flemmards, tout le monde prend place dans un petit train blanc pour parcourir les (à peine) 800m qui nous séparent de l'entrée, mais attention, pas l'entrée du parc ! Non, non, il s'agit à ce moment de faire son choix entre les 3 moyens de locomotion imposés pour accéder au parc à proprement dit (bateau, bus, ou monorail). Puisqu'on est jeunes et modernes avec la vie devant nous, on opte pour le monorail ... 1er moment bétaillère, la file d'attente:
La bétaillère à la gare du monorail, DisneyWorld, Floride.
Le monorail qui emmène les touristes au parc, DisneyWorld, Floride.
    On s'entasse, on joue des coudes, puis on finit enfin par arriver chez Mickey !  S'ensuit une journée à faire absolument toutes les attractions et spectacles du parc, clairement orienté pour les gamins. Comme je l'ai mentionné plus haut, ce parc est assez ancien, et les dirigeants l'ont clairement dédié aux plus petits, ceci est d'autant plus flagrant que les attractions "fortes" ne sont qu'au nombre de trois, et pas vraiment renversantes. On se retrouve avec un Space Mountain du pauvre sans aucun looping, un train de la mine des plus classiques, et un bateau toboggan splash faisant pâle figure face à la concurrence. Pour le reste, ce sont essentiellement des attractions-spectacles jouant énormément sur la qualité des décors, absolument admirables, et la mise en scène des personnages Disney pour les petits, sans oublier les innombrables restaurants et buvettes, allant de la simple cahute poussée à main nue, à l'énorme cantine où trouver une place pour s'asseoir relève de l'impossible. Chose tout à fait normale, il vous en coûtera un paquet pour profiter d'un met de base, mais c'est la règle pour tous les parcs d'attractions, on sait où l'on met les pieds en venant ici...

Rue principale et Château Disney, DisneyWorld, Floride.
Mickey et son père, Walt Disney, DisneyWorld, Floride.
Avant de valider notre entrée à Disney, il nous est imposé de remonter une dizaine de seaux du puits afin d'alimenter en eau le réseau des chasse d'eau du parc.
Pour ceux familiers de PortAventura, voici l'équivalent du Tutuki Splash, version Disney: moins mouillé, moins de sensations, mais avec des marionnettes d'il y à 30 ans !
Les immanquables tasses à café, où l'on fait toujours les malins au début, avant de se calmer en sentant la gerbe monter !
    Bon point en revanche pour Disney, en comparaison d'autres parcs, le système de pass express, permettant de passer par une deuxième file beaucoup plus rapide, est gratuit. En s'organisant suffisamment bien, on peut ainsi faire toutes les attractions bénéficiant du procédé sans avoir à poireauter dans la bétaillère pendant des plombes, et même les refaire une deuxième fois avec un peu de chance !  

    
      Par ailleurs, qui dit Disney, dit parade, et cette visite à Orlando n'a pas dérogé à la règle. L'occasion d'admirer une Blanche Neige qui, visiblement sous ecstasy, s'émerveille à la vue du moindre badaud ...

"Oh mon prince, une main d'enfant !!!"  " - Mais Dieu qu'elle est cruche celle-là ..."
 ... ou encore de croiser Dingo en grande forme...

Oh Uh Uh !!!
 ... ou bien Donald qui l'est visiblement moins, et chez qui les effets des fast food sont dévastateurs:

Donald avant MacDo...
... et Donald après MacDo.
    A la fin de la journée a lieu le traditionnel feu d'artifice, et surtout le spectacle d'illumination du Château, visuellement bluffant. Le parc était ouvert jusqu'à 1 heure du matin, mais étant donné qu'il s'agit du seul des quatre parcs à ne pas être directement accessible en voiture, quand vient l'heure de la fermeture, tout le monde se précipite pour reprendre le monorail, le bateau ou le bus. Quand on a déjà passé la journée à piétiner, se farcir une nouvelle fois la bétaillère a de quoi exaspérer ... surtout que c'est la même chose une fois que l'on a retrouvé la voiture, les accès routiers au parc se trouvant subitement engorgés par le trafic, c'est ballot n'est-ce pas ?

Le Château et son éclairage nocturne, DisneyWorld, Floride.
Spectacle nocturne au Château, DisneyWorld, Floride.
    Le lendemain, direction le 2ème parc: Epcot, petit frère du Futuroscope. Egalement intégré dans les projets de développement des parcs de Walt Disney, celui-ci n'a ouvert que le 1er Octobre 1982, et signifie Experimental Prototype Community of Tomorrow (Prototype expériemental de la communauté de demain), ville conceptuelle créée afin d'illustrer l'admiration du père de Mickey pour le progrès humain. La zone se divise en deux parties: la première est consacrée aux technologies, avec des spectacles 3D et autres mises en situation particulièrement réussies (on pense notamment au simulateur de vol spatial et à la voiture infernale), l'autre partie ayant pour thème les nations du globe. Une douzaine de pays du monde sont ainsi "recréés" autour d'un lac, chaque zone faisant figurer les décors emblématiques des territoires parcourus. 

Epcot, ville futuriste, également desservi par le monorail Disney.
Un immanquable: le simulateur de vol spatial, court mais intense !
Attraction simulant les essais subis par les voitures après leur production: freinage, revêtements rugueux, accélérations, tests des suspensions ... vraiment excellent et bien fichu !
    Epcot est un parc ludo-éducatif, sensibilisant l'Homme aux économies d'énergie et à la place que celui-ci occupe dans le monde, et surtout dans l'Histoire, et est de fait  moins orienté manèges que les autres parcs. C'est la raison qui semble expliquer pourquoi il rencontre un succès moindre comparé à ses frères voisins. Néanmoins, il vaut le détour, ne serait-ce que pour la qualité des spectacles, et de pouvoir manger un mille-feuille à Paris ou une choucroute en Allemagne sans avoir à traverser l'Atlantique !

Paris en Floride, qui dit mieux ?
Hall du bâtiment consacré aux États-Unis. S'en est suivi un spectacle soporifique retraçant l'histoire du pays, avec un final absolument dégoulinant d'idées impérialistes et de fierté nationale du plus mauvais goût.
L'immanquable feu d'artifice du lac d'Epcot, DisneyWorld, Floride.
    Le 3ème jour, le parc d'Animal Kingdom nous ouvre grand ses portes. Ouvert le même jour qu'Epcot, il s'agit, comme son nom l'indique, d'un lieu où les animaux sont rois. Véritable zoo interactif, la zone est une merveille de richesse tant pour la faune que la flore, et même si le côté foire à bestiaux exacerbé des touristes contraste avec la majesté et le respect qui s'impose face à toutes ces espèces animales, le plaisir demeure bel et bien là.

Bienvenue à Animal Kingdom, Disney World, Floride.
    Au menu du parc, un safari dans la brousse pour contempler les animaux "pratiquement" dans leur état naturel (tout est relatif, un rhinocéros qui a le même regard livide qu'une vache voyant défiler un train quand une énorme jeep de 20 personnes passe à 3 mètres de lui,  je n'appelle pas ça très naturel), partir à la chasse au yéti dans l'Everest agrippé à un wagonnet, pénétrer dans l'arbre de la vie du singe Rafiki, assisté à des comédies musicales, ou encore échapper à un astéroïde meurtrier au temps des dinosaures, il y a 65 millions d'années ... et oui, tout ça en une journée !  Animal Kingdom est le plus original des quatre parcs, et accessoirement mon préféré. Un vrai travail de préservation est réalisé par les équipes techniques, les décors sont une nouvelle fois époustouflants dans leur recherche, leur qualité, et leur diversité, bref un très bon parc ! 

Safari plus vrai que nature, dans une jeep identique à celle de gauche, Animal Kingdom.
Véritable oeuvre d'art, le gigantesque arbre de la vie de Rafiki trône majestueusement au milieu du parc.
Quand je vous dit qu'il est absolument énorme !
L'Everest à Disney, tout simplement.
Lors du safari, on peut rencontrer des éléphants "dans leur état naturel", c'est à dire au bord d'une piscine avec escaliers.
Une zone du parc permet au visiteur de s'approcher d'animaux "domestiques", comme des ânes, des chèvres, et ici une vache qui s'ennuyait fermement et ne trouvait rien d'autre de mieux à faire de se cogner la tête dans la barrique à longueur de temps.
Comédie musicale du monde Nemo, Animal Kingdom.
Pirate l'espace d'un instant, Animal Kingdom.
On est définitivement prêts pour le safari au Kenya !
Comédie musicale du roi Lion, en un mot: splendide.
Ce n'est pas pour rien qu'on l'appelle le Royaume des animaux ...
    Enfin, le quatrième jour est consacré au dernier des quatre parcs: Hollywood Studios, célébrant les films, effets spéciaux, et autres stars du grand écran. Manque de chance, un énorme orage est venu gâcher la fête, forçant certains shows à être suspendus ou annulés. Néanmoins, les attractions étaient nombreuses, mais une nouvelle fois un cran en-dessous de ce que propose celui de Paris. En vrac, on a droit au classique simulateur Star Wars, un jeu de tir avec Buzz l'éclair, des shows de cascadeurs, d'autres sur les effets spéciaux, un grand huit (enfin !) avec des vrais loopings, une tour de la terreur avec chute libre, ou encore une simulation d'American Idol (franchise de la nouvelle star aux USA). Bref, pas de quoi s'ennuyer, mais j'avoue saturer des parcs d'attraction au bout de quatre visites, et à la fin de la journée, je ne fus pas mécontent de revenir au monde "normal" des simples mortels !

L'accueil à la Mickey, Disney's Hollywood Studios.
Petit passage bétaillère supplémentaire, quand le public est parqué à l'entrée en attendant que les rues lui soient ouvertes.
Simulateur 3D Star Wars ... mouais, du déjà vu.
Séance d'entraînement des Padawans au maniement du sabre laser. Ils étaient vraiment trop mignons, surtout quand Dark Vador est venu leur foutre les chocottes juste après !
Un travail admirable des décors, ici les espaces verts en hommage au film Fantasia, Disney's Hollywood Studios.
Roller Coaster en hommage aux Rolling Stones (identique à celui de Paris), Disney's Hollywood Studios.
Tour de la terreur, Disney's Hollywood Studios.
Une entrée de cinéma comme on en trouve encore beaucoup en Amérique du Nord.
L'inévitable case boutique en quittant le parc.
L'heure de dire au revoir à Mickey et ses comparses a sonné ...
    Bilan de ces quatre jours à DisneyWorld: mitigé. Berceau de l'univers de la petite souris, je m'attendais à un DisneyLand Paris survitaminé, et c'est l'inverse qui s'est produit. Excepté pour Animal Kingdom, à aucun moment les parcs ne proposent de vrai "décollage" dans le plaisir procuré, cette sensation qu'il manque quelque chose pour rendre la visite vraiment inoubliable étant bien trop présente. De plus, les parcs comprennent trop de petites attractions sans grand intérêt, ou alors trop orienté enfants, et le fait d'avoir divisé DisneyWorld en quatre parcs nous force plus ou moins à dépenser l'équivalent de quatre jours de tickets. Proportionnellement à la capitale française, le prix par parc est assez élevé au regard de l'offre proposée. Pour conclure, si vous connaissez DisneyLand Paris, intéressez-vous à Epcot et Animal Kingdom, vous économiserez au moins deux jours !
 


    Deuxième temps fort de ce séjour à Orlando, l'espace ! Au revoir Mickey et bonjour la Nasa. Le 8 Juillet dernier était l'occasion d'assister à l'ultime décollage de la navette Atlantis à Cap Canaveral, au bord de l'Océan Atlantique. Depuis son premier vol en 1981, et pendant près de 30 ans, le programme de la navette spatiale américaine a permis l'envoi d'hommes et de matériel (satellites, télescopes ...) dans l'espace, mais son coût prohibitif de 500 millions de dollars par lancement (1,5 milliard en intégrant les coûts de développement), associé à plusieurs accidents ayant entraîné la perte de l'équipage, ont eu raison de lui. La Nasa a décidé d'interrompre le projet en 2004, le système n'étant pas jugé porteur pour le domaine spatial. Au total, ce sont pas moins de 135 missions qui ont été effectuées par les 4 exemplaires de la navette.

Navette Atlantis.
    Direction Cap Canaveral, où l'on finit par s'arrêter plusieurs dizaines de km avant le site de lancement, près d'un pont aux abords déjà noirs de monde. Le temps de sortir l'appareil photo et de comprendre où regarder, vient le moment tant attendu, avec les paroles des contrôleurs du centre de lancement en fond sonore: Five ... Four ... Three ... Two ... One ... un panache de fumée entourant une flamme s'élance alors vers le ciel à une vitesse prodigieuse, perçant les nuages et disparaissant dans un brouhaha de cris de joie mêlés aux applaudissements de la foule. 

Décollage de la navette Atlantis, Cap Canaveral, Floride, 8 Juillet 2011.
    C'est très court, mais intense. Alors bien sûr, on aurait aimé être plus près, mais on pourra dire qu'on a vu, pour sûr, une fusée décoller.


    Le lendemain nous arrivons à quelques encablures du site de lancement, au Kennedy Space Center de Cap Canaveral, qui n'est autre que le centre d'exposition de la NASA sur la conquête spatiale américaine. L'occasion de s'approcher du bâtiment colossal consacré aux réparations et à la préparation de la navette pour ses vols spatiaux, de voir également le remorqueur qui transporte la navette depuis ce bâtiment jusqu'au site de lancement, ou bien encore pénétrer dans une des navettes mise à la retraite.

Entrée du Kennedy Space Center, Cap Canaveral, Floride.
Propulseurs et réservoir de la navette, les vrai de vrai !
Site de lancement des fusées dites "non-réutilisables", comme celles ayant servi à envoyer les modules Apollo dans l'espace.
Un des trois moteurs d'une navette spatiale. Celui-ci a servi durant huit ans sur trois modèles de navettes. A son actif on peut citer entre autres la mise en orbite du télescope Hubble. Chaque moteur exerce une poussée d'environ 180 tonnes au décollage et consomme 1,9 millions de litres de carburant cryogénique durant 8 à 9 minutes de fonctionnement.

En ligne de mire, le site de lancement des navettes, désormais bien vide en ce lendemain de décollage d'Atlantis.
Le remorqueur, qui se coltine la navette du bâtiment de préparation (en haut à gauche) jusqu'au site de lancement, environ 3,5 km plus loin.
Attention équipe bleue, équipe rouge !!! Intervilles version la NASA, manque plus que la vachette et Nathalie Simon sur fond de "cha na na na na naaaa, cha na na na naaaa".
Réplique d'une salle de contrôle lors d'un lancement. On peut revivre "en direct" le lancement de la première fusée du programme Apollo, avec les dialogues des ingénieurs, les écrans qui s'allument, les boutons partout, les vitres qui vibrent, et un bruit du tonnerre !
Moteurs de la fusée Saturne 5 des missions Apollo. Leur taille est véritablement colossale.
Fusée Saturne 5, missions Apollo. On se sent vraiment, vraiment très petit à côté.
Module lunaire des missions Apollo.
Voici le mini bus qui transporte les astronautes jusqu'au site de lancement. Il a dû y en avoir du stress ressenti à l'intérieur !
Capsule servant à l’amerrissage des astronautes, à leur retour sur Terre.
Fragment lunaire.
Casque au look très "artisanal" ... et dire qu'ils sont allés dans l'espace avec ça sur la tête !
Ils n'ont hélas pas fait mieux avec les gants !
En exclusivité voici la première combinaison tupperware, parfaitement hermétique et réutilisable à volonté, elle conservera tout être humain à l'abri du froid intersidéral !
Site de réparation et préparation des navettes. La statue de la liberté peut tenir debout à l'intérieur.
Une des activités proposées par le centre: rencontre avec un astronaute, où celui-ci nous raconte ses expériences de vol., tout en répondant aux questions du public, vraiment une bonne idée ! Évidemment on a eu droit au passage pouêt-pouêt du caca dans l'espace...
Véritable navette Explorer, désormais à la retraite. En fond, l'attraction du décollage d'une navette, où l'on se retrouve assis à la verticale en étant secoués comme un prunier pour finalement voir le toit de la navette s'ouvrir et nous permettre de contempler l'espace infini sur fond de "wouaaaaaaah c'est beauuuuuuuuuu" !
Poste de pilotage de la navette Explorer: petit, étriqué, et pas très chaleureux. Après tout, ils n'étaient pas là pour faire la cuisine.
Corps principal de la navette Explorer: sa soute.
Le voici, le voilà, l'immanquable siège des toilettes: le trône de l'espace.
Mémorial consacré aux victimes des programmes spatiaux américains. On pense notamment aux accidents de Challenger en 1986 et Discovery en 2003
Un petit avant-goût des projets de la Nasa en terme d'exploration extra-planétaire avec ce véhicule conçu pour l'autonomie de 2 astronautes durant deux semaines environ, et capable de parcourir une longue distance en s'affranchissant des obstacles liés au terrain.



     Le 5 Juillet au soir nous quittons le Nord de la Floride pour rejoindre la 2ème ville préférée des Experts:  Miami ! Sortez les strings et les lunettes, on arrive !!!


ON THE ROAD AGAIN !!!!!

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